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Cet article recense les pratiques inscrites au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO au Kazakhstan.

Comprendre[modifier]

Le pays compte onze pratiques reprises sur la « liste représentative du patrimoine culturel immatériel » de l'UNESCO.

Aucune pratique n'est reprise que se soit dans le « registre des meilleures pratiques de sauvegarde de la culture » ou sur la « liste de sauvegarde d'urgence ».

Listes[modifier]

Liste représentative[modifier]

Pratique Année Domaine Description Illustration
Connaissances et savoir-faire traditionnels liés à la fabrication des yourtes kirghizes et kazakhes (habitat nomade des peuples turciques)
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec le Kirghizistan.

2014 * Savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
La yourte est un type d’habitat nomade des peuples kazakhs et kirghizes. Elle se compose d’une ossature en bois de forme circulaire recouverte de feutre et maintenue à l’aide de cordes ; elle est facile et rapide à monter et à démonter. Les détenteurs des connaissances liées à la fabrication des yourtes sont les artisans (hommes et femmes) qui fabriquent les yourtes et leurs décorations intérieures. Les yourtes sont fabriquées à partir de matières premières naturelles et renouvelables. Les hommes et leurs élèves fabriquent les ossatures en bois à la main, ainsi que des accessoires en bois, en cuir, en os et en métal. Les femmes s’occupent de la décoration intérieure et de la couverture extérieure, ornées de motifs traditionnels zoomorphiques, végétaux ou géométriques. La règle veut qu’elles travaillent par groupes communautaires supervisés par des artisanes expérimentées, et qu’elles aient recours au tissage, au filage, au tressage, au feutrage, à la broderie, à la couture et à d’autres techniques artisanales traditionnelles. La confection des yourtes fait appel à toute la communauté des artisans, et met en avant des valeurs humaines communes, la coopération constructive et l’imagination créatrice. Traditionnellement, les connaissances et les savoir-faire sont transmis dans les familles ou bien de maîtres à élèves. Toutes les festivités, les cérémonies, les naissances, les mariages et les rituels funéraires se déroulent dans une yourte. La yourte reste ainsi le symbole de la famille et de l’hospitalité traditionnelle, fondamentales pour l’identité des peuples kazakhs et kirghizes.


L’art traditionnel kazakh du dombra kuï 2014 * Arts du spectacle
* Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Traditions et expressions orales
L’art du dombra kuï désigne une courte composition jouée en solo (kuï) sur un instrument de musique traditionnel en forme de poire, à deux cordes pincées et à long manche, appelé dombra. Cette musique entend relier les gens avec leurs racines et leurs traditions, grâce à des morceaux classiques et improvisés qui amènent le public à vivre une expérience spirituelle et émotionnelle. L’investissement du public dans l’interprétation compte parmi les plus importants moyens de communication sociale et contribue au transfert des connaissances et des compétences associées à la culture kazakhe. Cette musique s’accompagne généralement d’histoires et de légendes. Traditionnellement, elle est jouée lors des réunions sociales, des vacances et des événements festifs, entourée d’une grande variété de nourriture et de musique. Elle assure une expérience sociale et culturelle indispensable, qui renforce l’identité des populations et promeut la solidarité et la compréhension réciproque dans la société. Des musiciens motives et talentueux sont places en apprentissage auprès des maîtres, dès qu’un enfant manifeste son intérêt pour la philosophie et la virtuosité de la musique traditionnelle et sa pratique. Les musiciens amateurs se forment auprès d’autres interprètes talentueux et plus expérimentés de leur région afin de développer leur savoir-faire et leur répertoire


L'aitysh/aitys, art de l'improvisation
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec le Kirghizistan.

2015 * Arts du spectacle
* Traditions et expressions orales
L’aitysh ou aitys est une compétition improvisée de poésie orale parlée ou chantée au son d’instruments de musique traditionnels : le dombra kazakh ou le komuz kirghiz. Deux interprètes (akyns) s’affrontent dans une improvisation poétique portant sur des sujets d’actualité. Leurs traits d’esprit alternent entre humour et profondes réflexions philosophiques. Lors de ces compétitions, les interprètes assis face à face improvisent un dialogue sur tout type de sujet proposé par le public. Est désigné vainqueur celui qui est considéré avoir démontré sa virtuosité musicale et rythmique, son originalité, son ingéniosité, sa sagesse et son esprit. Les expressions les plus éloquentes et les plus spirituelles deviennent souvent des dictons populaires. L’élément est pratiqué lors de diverses occasions, des fêtes locales aux événements nationales. Les praticiens s’en servent alors comme d’une tribune pour soulever des questions sociales importantes. Traditionnellement pratiqué par des hommes, l’aitysh/aitys l’est désormais également par des interprètes féminines qui expriment à travers cet art les aspirations et les points de vue des femmes. Aujourd’hui, l’aitysh/aitys est une composante culturelle très populaire des sociétés multiethniques du Kirghizistan et du Kazakhstan et constitue une partie primordiale de l’identité des communautés de détenteurs. Les interprètes les plus expérimentés enseignent et transmettent leurs connaissances et savoir-faire aux plus jeunes générations.


La fauconnerie, un patrimoine humain vivant
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec l'Allemagne, l'Arabie saoudite, l'Autriche, la Belgique, les Émirats arabes unis, l'Espagne, la France, la Hongrie, l'Italie, le Maroc, la Mongolie, le Pakistan, le Portugal, le Qatar, la Syrie, la Corée du Sud et la Tchéquie.

2016 * Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel
* Traditions et expressions orales
Utilisée à l’origine pour se procurer de la nourriture, la fauconnerie est désormais davantage liée à la protection de la nature, au patrimoine culturel et à l’engagement social des communautés. Suivant leurs propres traditions et principes éthiques, les fauconniers dressent, forment et font voler des oiseaux de proie (falconidés, mais aussi aigles et accipitridés) en développant un lien avec eux et en devenant leur principale source de protection. Présente dans de nombreux pays du monde, la pratique peut varier, par exemple, au niveau du type d’équipement utilisé, mais les méthodes restent les mêmes. Se considérant comme un groupe, les fauconniers peuvent voyager pendant des semaines pour chasser, en se racontant, le soir, leur journée. Ils considèrent la fauconnerie comme un lien avec le passé, notamment lorsqu’il s’agit de l’un des derniers liens avec l’environnement naturel et la culture traditionnelle de la communauté. Les connaissances et savoir-faire se transmettent de génération en génération dans le cadre du mentorat, de l’apprentissage au sein des familles, ou d’une formation dans des clubs et des écoles. Dans certains pays, un examen national doit être passé pour devenir fauconnier. Des rencontres et festivals permettent aux communautés de partager leurs connaissances, de renforcer la sensibilisation et de promouvoir la diversité.


La culture de la fabrication et du partage de pain plat Lavash, Katyrma, Jupka, Yufka
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec l'Azerbaïdjan, l'Iran, le Kirghizistan et la Turquie.

2016 * Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Traditions et expressions orales
La culture de la fabrication et du partage du pain plat dans les communautés d’Azerbaïdjan, d’Iran, du Kazakhstan, du Kirghizistan et de Turquie remplit des fonctions sociales grâce auxquelles cette tradition continue d’être suivie par de nombreux individus. La fabrication du pain (lavash, katyrma, jupka ou yufka) mobilise au moins trois personnes, souvent d’une même famille, qui ont chacune un rôle dans sa préparation et sa cuisson. Dans les zones rurales, le processus se déroule entre voisins. Les boulangeries traditionnelles fabriquent également ce pain. Il est cuit dans des tandyrs/tanūrs (fours en terre ou en pierres creusés dans le sol), sur des sājs (plaques métalliques) ou dans des kazans (chaudrons). Outre lors des repas habituels, le pain plat est partagé à l’occasion des mariages, des naissances, des funérailles, des vacances et des prières. En Azerbaïdjan et en Iran, il est posé sur les épaules de la mariée ou émietté sur sa tête pour souhaiter prospérité au couple alors qu’en Turquie, il est donné aux voisins du couple. Au Kazakhstan, la croyance veut que ce pain soit préparé lors de funérailles pour protéger le défunt en attendant la décision divine, et au Kirghizistan, le partage du pain assure au défunt un meilleur séjour dans l’au-delà. Cette pratique, activement transmise au sein des familles et de maîtres à apprentis, reflète l’hospitalité, la solidarité et certaines croyances symbolisant des racines culturelles communes et renforce ainsi le sentiment d’appartenance à la communauté.


Le Novruz, Nowrouz, Nooruz, Navruz, Nauroz, Nevruz
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec l'Afghanistan, l'Azerbaïdjan, l'Inde, l'Iran, l'Iraq, le Kirghizistan, l'Ouzbékistan, le Pakistan, le Tadjikistan, le Turkménistan et la Turquie.

2016 * Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Arts du spectacle
* Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel
* Traditions et expressions orales
Le Novruz, ou Nowrouz, Nooruz, Navruz, Nauroz, Nevruz, marque le nouvel an et le début du printemps dans une zone géographique très étendue, comprenant, entre autres, l’Azerbaïdjan, l’Inde, l’Iran, le Kirghizistan, le Pakistan, la Turquie et l’Ouzbékistan. Il est fêté chaque 21 mars, date calculée et fixée à l’origine en fonction des études astronomiques. Le Novruz est associé à des traditions locales diverses, par exemple l’évocation de Jamshid, roi mythologique d’Iran, à des nombreux récits et légendes. Les rites qui l’accompagnent dépendent des lieux, depuis les sauts par-dessus les feux et les ruisseaux en Iran jusqu’aux marches sur la corde raide, le dépôt de bougies allumées à la porte de la maison, en passant par des jeux traditionnels, tels que des courses de chevaux ou la lutte traditionnelle pratiqués au Kirghizistan. Chants et danses sont presque partout la règle, ainsi que des repas semi-sacrés familiaux ou publics. Les enfants sont les premiers bénéficiaires des festivités et participent à nombre d’activités comme la décoration d’œufs durs. Les femmes jouent un rôle central dans l’organisation et le déroulement du Novruz, ainsi que dans la transmission des traditions. Le Novruz promeut des valeurs de paix, de solidarité entre les générations et au sein des familles, de réconciliation et de bon voisinage, contribuant à la diversité culturelle et à l’amitié entre les peuples et les différentes communautés


Le koures au Kazakhstan 2016 * Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Arts du spectacle
* Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
Le koures au Kazakhstan est une forme de lutte dans laquelle les concurrents s’affrontent debout, l’objectif consistant à plaquer les deux omoplates de l’adversaire au sol. Dans le cadre de cette pratique traditionnelle, les formateurs entraînent les jeunes garçons qui participent ensuite à des compétitions locales. De nos jours, le koures au Kazakhstan est un sport national, pratiqué par les deux sexes, jusqu’au niveau professionnel. Des compétitions internationales sont organisées, comme le « Kazakhstan Barysy », diffusé tous les ans dans plus de 100 pays. Le koures au Kazakhstan se transmet au sein des clubs sportifs éventuellement associés à des écoles et dans le cadre de master classes de lutteurs expérimentés. L’âge minimum pour se former est de 10 ans et aucune restriction ne limite l’accès à l’élément selon l’origine des participants. Le koures est également présent dans le folklore traditionnel kazakh. Les lutteurs, ou baluans, sont considérés comme forts et courageux et célébrés dans des épopées, la poésie et la littérature. La pratique du koures au Kazakhstan apprend aux jeunes générations à respecter leur histoire et leur culture et les incite à se comporter comme les baluans héroïques. Elle contribue à renforcer la tolérance, la bonne volonté et la solidarité entre communautés.


Les jeux traditionnels d’assyks kazakhs 2017 * Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Traditions et expressions orales
Les jeux traditionnels d’assyks kazakhs sont une tradition ancestrale au Kazakhstan. Chaque joueur possède son propre jeu d’« assyks », traditionnellement constitués d’astragales de mouton, et un « saka », teint dans des couleurs vives. Les joueurs se servent de leur assyk pour éliminer les autres assyks du jeu. C’est la position de l’osselet qui détermine qui est le gagnant. La communauté concernée comprend la majeure partie de la population du Kazakhstan, y compris les membres de la Fédération de jeux « Assyk Atu », ainsi que la grande communauté des praticiens, essentiellement des enfants entre 4 et 18 ans. L’élément est une activité en extérieur qui aide à développer les capacités d’analyse et le bien-être physique des enfants, en encourageant les liens d’amitié et l’intégration sociale. Il s’agit aussi d’un excellent modèle de collaboration positive, vecteur d’unité indépendamment de l’âge, des origines ethniques ou de la confession religieuse. Il est généralement pratiqué à l’occasion des festivités et rassemblements, et la communauté joue un rôle clé dans la sauvegarde de la pratique et dans sa popularisation auprès d’autres groupes ethniques du Kazakhstan, ce qui en fait un symbole national de l’enfance. Il est transmis des garçons plus âgés aux plus jeunes, par l’observation, ainsi qu’à travers des documentaires sur l’élément, diffusés à la radio et à la télévision, qui visent à inciter les enfants à jouer aux assyks et à familiariser le public avec son patrimoine culturel.


Les rites festifs traditionnels printaniers des éleveurs de chevaux kazakhs 2018 * Connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
Les rites festifs traditionnels printaniers des éleveurs de chevaux kazakhs – qui se déroulent dans le village de Terisakkan (district d’Ulytau, oblast de Karaganda) – marquent la fin de l’ancien et le début du nouveau cycle annuel d’élevage de chevaux. Ancrés dans les connaissances traditionnelles sur la nature et les relations ancestrales entre l’homme et le cheval, les rites font appel à des savoir-faire hérités des ancêtres nomades, adaptés à la réalité contemporaine. Au terme de préparatifs qui se déroulent tout au long de l’année, les principaux éléments constituant l’élément sont : « Biye baylau » (littéralement « pâturage au piquet »), rite ancien de la « première traite » qui comprend la séparation des juments et des poulains des troupeaux, la traite des juments et la célébration avec des chants, des danses et des jeux ; « Ayghyr kosu » (au sens figuré « le mariage de l’étalon »), un rite récent consistant à faire rentrer des étalons au sein de troupeaux ; et « Kymyz muryndik » (métaphore signifiant « lancement du koumis »), le « premier partage de koumis », qui lance la saison de sa production et de son partage. Les rites s’étendent sur environ trois semaines, jusqu’aux cérémonies de partage de koumis, et se déroulent dans chaque foyer. Les rites ouvrent un nouveau cycle annuel de reproduction et illustrent l’hospitalité kazakhe traditionnelle. Au XXe siècle, confrontés à la transition forcée d’un mode de vie nomade à sédentaire, les détenteurs ont adapté la forme traditionnelle de l’élevage des chevaux aux conditions nouvelles afin d’assurer sa viabilité continue.


Héritage de Dede Qorqud/Korkyt Ata/Dede Korkut : la culture, les légendes populaires et la musique liées à cette épopée
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec l'Azerbaïdjan et la Turquie.

2018 * Arts du spectacle
* Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Traditions et expressions orales
La culture, les légendes populaires et la musique liées à l’épopée de Dede Qorqud/Korkyt Ata/Dede Korkut sont fondées sur douze légendes, récits et contes héroïques et treize pièces musicales traditionnelles qui ont été partagés et transmis de génération en génération au travers des traditions orales, des arts du spectacle, des codes culturels et des compositions musicales. Dede Qorqud apparaît dans chaque récit comme une figure légendaire et une personne sage, un troubadour dont les mots, la musique et les témoignages de sagesse sont associés aux traditions qui entourent la naissance, le mariage et la mort. Dans les pièces musicales, c’est le son du kobyz, un instrument de musique, qui reproduit les sons de la nature, et les paysages sonores sont caractéristiques de ce support (tels que l’imitation du hurlement d’un loup ou du chant d’un cygne). Les pièces musicales sont toutes étroitement liées les unes aux autres par les récits épiques qui les accompagnent. L’élément qui véhicule des valeurs sociales, culturelles et morales telles que l’héroïsme, le dialogue, le bien-être physique et spirituel et l’unité ainsi que le respect de la nature, est riche de connaissances approfondies sur l’histoire et la culture des communautés turcophones. Il est pratiqué et perpétué par la communauté concernée à de multiples occasions – aussi bien des événements familiaux que des festivals nationaux et internationaux – et est donc bien enraciné dans la société, servant de fil conducteur entre les générations.


Le jeu traditionnel d’intelligence et de stratégie: Togyzqumalaq, Toguz Korgool, Mangala/Göçürme
Note

Le Kazakhstan partage cette pratique avec le Kirghizistan et la Turquie.

2020 * Pratiques sociales, rituels et événements festifs
* Savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel
Le jeu traditionnel d’intelligence et de stratégie appelé Togyzqumalaq, Toguz Korgool ou Mangala/Göçürme est un jeu traditionnel qui peut se jouer sur des plateaux spéciaux ou improvisés, par exemple en creusant des trous dans le sol. Le jeu peut se jouer avec des pions en pierre, en bois ou en métal, os, noix, graines, répartis dans les trous ; le gagnant est le joueur qui parvient à rassembler le plus de pions. Il existe plusieurs variantes du jeu. Par exemple, le plateau de jeu peut comporter deux, trois, quatre, six ou neuf trous disposés en fonction du nombre de joueurs, et la durée de la partie dépend du nombre de joueurs. Dans les États soumissionnaires, l’élément est lié à d’autres activités artisanales traditionnelles, comme la sculpture sur bois, la sculpture sur pierre et la fabrication de bijoux. Les maîtres de la sculpture sur bois et sur pierre et les bijoutiers fabriquent des plateaux et des pions finement décorés et pratiques. La conception des plateaux reflète la vision du monde traditionnelle et la créativité artistique des artisans. Le jeu améliore les compétences cognitives, motrices et sociales des joueurs. Il renforce leur réflexion stratégique et créative et leur enseigne la patience et la bienveillance. Il est transmis de manière informelle, mais aussi par le biais de l’éducation formelle. Récemment, les communautés concernées ont développé des applications mobiles permettant d’apprendre à jouer et/ou de jouer. Elles constituent un nouveau moyen de transmettre les connaissances et d’accroître la visibilité de la pratique auprès des jeunes.


Registre des meilleures pratiques de sauvegarde[modifier]

Le Kazakhstan n'a pas de pratique inscrite au registre des meilleures pratiques de sauvegarde.

Liste de sauvegarde d'urgence[modifier]

Le Kazakhstan n'a pas de pratique inscrite sur la liste de sauvegarde d'urgence.

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