Apparence
Cet article recense les pratiques inscrites au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO au Mexique.
Comprendre
[modifier]Le pays compte dix pratiques reprises sur la « liste représentative du patrimoine culturel immatériel » de l'UNESCO.
Une pratique est reprise dans le « registre des meilleures pratiques de sauvegarde de la culture ».
Aucune pratique supplémentaire n'est reprise sur la « liste de sauvegarde d'urgence ».
Listes
[modifier]Liste représentative
[modifier]Pratique | Année | Domaine | Description | Illustration |
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Les fêtes indigènes dédiées aux morts | 2008 | * pratiques sociales, rituels et événements festifs * connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers |
Telle qu’il est pratiqué par les communautés indigènes du Mexique, el Día de los Muertos (jour des morts) célèbre le retour transitoire sur terre des parents et des êtres chers décédés. Les festivités ont lieu chaque année, entre fin octobre et début novembre, période qui marque la fin du cycle annuel de la culture du maïs, la principale culture vivrière du pays. Pour faciliter le retour des esprits sur la terre, les familles parsèment de pétales de fleurs, de bougies et d’offrandes, le chemin qui mène de la maison au cimetière. Les plats préférés du défunt sont préparés et disposés autour de l’hôtel familial et de la tombe, au milieu de fleurs et de divers objets d’artisanat typiques comme les silhouettes en papier. Le plus grand soin est apporté à tous les aspects des préparatifs car dans l’imaginaire populaire, un mort peut attirer la prospérité (par exemple, une bonne récolte de maïs) ou le malheur (maladie, accident, difficultés financières etc.) sur sa famille selon le sérieux avec lequel les rituels sont accomplis. Les morts sont répartis en plusieurs catégories en fonction de la cause du décès, de l’âge, du sexe et, dans certains cas, de la profession. Un jour de culte est attribué à chacune de ces catégories. Cette rencontre entre les vivants et les morts est une affirmation du rôle de l’individu dans la société. Elle contribue en outre à renforcer le statut politique et social des communautés indigènes du Mexique. Les fêtes dédiées aux morts revêtent une importance considérable dans la vie des peuples autochtones du Mexique. La fusion des rites religieux préhispaniques et des fêtes catholiques permet le rapprochement de deux univers, celui des croyances indigènes et celui d’une vision du monde introduite par les Européens au seizième siècle. |
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La cérémonie rituelle des Voladores | 2009 | * pratiques sociales, rituels et événements festifs * connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers * traditions et expressions orales |
La cérémonie rituelle des Voladores (« hommes volants ») est une danse de fertilité exécutée par plusieurs groupes ethniques au Mexique et en Amérique centrale, en particulier le peuple Totonac dans l’État oriental de Veracruz, pour exprimer leur respect et leur harmonie avec la nature et le monde spirituel. Au cours de la cérémonie, quatre jeunes hommes escaladent un tronc d’arbre de dix-huit à quarante mètres de haut, fraîchement coupé dans la forêt avec le pardon du dieu de la montagne. Un cinquième homme, le Caporal, se tient sur la plate-forme qui surplombe le poteau et de sa flûte et son tambour joue des airs en l’honneur du soleil, des quatre vents et de chacune des directions cardinales. Après cette invocation, les autres se jettent « dans le vide » depuis la plate-forme. Attachés à la plate-forme par de longues cordes, ils tournoient tandis que la corde se déroule, imitant le vol d’un oiseau et descendant progressivement jusqu’au sol. Chaque variante de la danse étant un moyen de faire revivre le mythe de la naissance de l’univers, la cérémonie rituelle des Voladores exprime la vision du monde et les valeurs de la communauté, facilite la communication avec les dieux et constitue un appel à la prospérité. Pour les danseurs et les nombreuses autres personnes qui participent à la spiritualité du rite en tant qu’observateurs, elle suscite un sentiment de fierté et de respect du patrimoine culturel de sa propre identité. |
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1 Les lieux de mémoire et traditions vivantes du peuple Otomí-Chichimecas de Tolimán : la Peña de Bernal, gardienne d’un territoire sacré | 2009 | * pratiques sociales, rituels et événements festifs * connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers * savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel * traditions et expressions orales |
Le peuple Otomí-Chichimeca, établi dans la zone semi-désertique de l’État du Querétaro, dans le centre du Mexique, a élaboré un ensemble de traditions qui témoigne du lien exceptionnel que ce peuple entretient avec la topographie et l’écologie locales. Son environnement culturel est dominé par un triangle symbolique, formé par les collines de Zamorano et Frontón ainsi que le rocher de Bernal. C’est sur des monts sacrés que la population se rend chaque année en pèlerinage en portant des croix miraculeuses, priant pour obtenir de l’eau et la protection divine, vénérer les ancêtres, célébrer son identité et sa continuité en tant que communauté. D’autres festivités communautaires ponctuent tout au long de l’année un calendrier de rites centrés sur l’eau, extrêmement rare sous ce climat, qui célèbrent l’endurance du peuple Otomí-Chichimeca. Les rites se déroulent souvent dans l’intimité de chapelles familiales vouées aux ancêtres ou dans des chimales, structures temporaires mais imposantes, en roseau avec toit de feuilles, construites à titre d’offrande, de symbole d’endurance, de vitalité et d’appartenance. Le lien entre la culture spirituelle et l’espace physique a une influence sur l’art de la région – notamment les images religieuses, les peintures murales, la danse et la musique – et les traditions qui l’incarnent sont des éléments centraux de l’identité culturelle de la communauté. |
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La cuisine traditionnelle mexicaine - culture communautaire, vivante et ancestrale, le paradigme de Michoacán | 2010 | * pratiques sociales, rituels et événements festifs * connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers * traditions et expressions orales |
La cuisine traditionnelle mexicaine est un modèle culturel complet qui rassemble des pratiques agricoles, rituelles, des talents de longue date, des techniques culinaires et des coutumes et manières communautaires ancestrales. Cela est rendu possible grâce à la participation collective dans la chaîne alimentaire traditionnelle tout entière : de la plantation et la récolte à la cuisson et à la dégustation. La base du système est fondée sur le maïs, les haricots et le piment chili ; les méthodes agricoles uniques comme la milpa (champ de maïs et autres cultures par rotation sur brûlis) et la chinampa (îlot de culture artificiel dans une zone lacustre) ; les procédés de cuisson, comme la nixtamalisation (décorticage du maïs à l’eau de chaux qui augmente sa valeur nutritive) ; et les ustensiles particuliers comme la pierre meulière et le mortier en pierre. Des ingrédients autochtones, parmi lesquels figurent des variétés de tomates, de courges, d’avocats, de cacao et de vanille, s’ajoutent aux produits alimentaires de base. La cuisine mexicaine est élaborée et chargée de symboles, avec les tortillas et les tamales quotidiens, tous deux à base de maïs, qui font partie intégrante des offrandes du Jour des Morts. Des collectifs de cuisinières et d’autres praticiens consacrés au développement des cultures et de la cuisine traditionnelle sont constitués dans l’État du Michoacán et dans tout le Mexique. Leurs savoirs et techniques sont l’expression de l’identité communautaire, renforcent les liens sociaux et consolident les identités nationale, régionale et locale. Ces efforts accomplis dans le Michoacán soulignent également l’importance de la cuisine traditionnelle comme moyen de développement durable. |
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2 Les Parachicos dans la fête traditionnelle de janvier à Chiapa de Corzo | 2010 | * arts du spectacle * connaissances et pratiques concernant la nature et l’univers * pratiques sociales, rituels et événements festifs * savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel * traditions et expressions orales |
La Grande Fête traditionnelle se déroule chaque année du 4 au à Chiapa de Corzo, au Mexique. Cette fête, qui associe musique, danse, artisanat, gastronomie, cérémonies religieuses et festivités, est organisée en l’honneur de trois saints catholiques : Saint Antoine Abbot, Notre-Seigneur d’Esquipulas et, le plus important, Saint Sébastien. Les danses des Parachicos – le terme désigne à la fois les danseurs et la danse – sont considérées comme une offrande collective à ces saints. Elles commencent le matin et se terminent à la nuit : les danseurs défilent dans toute la ville en portant des statues des saints et font des haltes dans divers lieux de culte. Chaque danseur porte un masque en bois sculpté surmonté d’une coiffe, une couverture, un châle brodé et des rubans multicolores ; il joue des chinchines (maracas). Les danseurs sont guidés par le Patron, qui porte un masque à l’expression sévère, une guitare et un fouet, tout en jouant de la flûte accompagné par un ou deux joueurs de tambour. Pendant la danse, il entonne des prières de louanges auxquelles les Parachicos répondent par des acclamations. La danse est transmise et apprise sur le tas, les jeunes enfants s’efforçant d’imiter les danseurs adultes. La technique de fabrication des masques est transmise de génération en génération, depuis la coupe du bois et son séchage jusqu’à la sculpture et la décoration finale. La danse des Parachicos pendant la Grande Fête embrasse toutes les sphères de la vie locale, favorisant le respect mutuel entre communautés, groupes et individus. |
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3 La Pirekua, chant traditionnel des P’urhépecha | 2010 | arts du spectacle * pratiques sociales, rituels et événements festifs * traditions et expressions orales |
La Pirekua est une musique traditionnelle des communautés autochtones P’urhépecha de l’État du Michoacán au Mexique, que chantent aussi bien les hommes que les femmes. Son mélange de styles divers a des origines africaines, européennes et américaines autochtones, avec des variations régionales identifiées dans 30 communautés P’urhépecha sur 165. Une Pirekua, qui est généralement chantée avec un rythme lent, peut également être présentée dans un style non-vocal en utilisant différents rythmes tels que les sones (3/8) et abajeños (6/8). La Pirekua peut être chantée en solo, en duo ou en trio, ou être accompagnée par des ensembles vocaux, des orchestres à cordes et mixtes (avec des instruments à vent). Les pirériechas (chanteurs et interprètes de Pirekua) sont réputés pour leur créativité et leurs interprétations de chants plus anciens. Les paroles couvrent un large éventail de thèmes allant des événements historiques à la religion, la pensée sociale et politique, l’amour et la cour auprès des femmes, faisant un usage intensif de symboles. La Pirekua sert de moyen de dialogue effectif entre les familles et les communautés P’urhépecha qui la pratiquent, en aidant à établir et à resserrer les liens. Les pirériechas servent aussi de médiateurs sociaux, en utilisant les chants pour exprimer des sentiments et communiquer des événements importants aux communautés P’urhépecha. La Pirekua se transmet traditionnellement par oral, de génération en génération, en conservant son caractère d’expression vivante, marqueur identitaire et moyen de communication artistique pour plus de cent mille P’urhépecha. |
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Le Mariachi, musique à cordes, chant et trompette | 2011 | * arts du spectacle * pratiques sociales, rituels et événements festifs * traditions et expressions orales |
Le Mariachi est à la fois une musique traditionnelle mexicaine et un élément fondamental de la culture mexicaine. Les groupes Mariachis traditionnels, composés de deux musiciens ou plus, portent des costumes régionaux inspirés du costume charro et interprètent un large répertoire de chants sur des instruments à cordes. Les ensembles qui jouent la musique Mariachi « moderne » comprennent des trompettes, des violons, la vihuela et le guitarrón (guitare basse), et peuvent être composés de quatre musiciens et plus. Le vaste répertoire inclut des chants de différentes régions, des jarabes, des menuets, des polkas, des valonas, des scottishes, des valses et des sérénades, en plus des corridos (ballades typiquement mexicaines relatant des histoires de batailles, de hauts faits et d’amour) et des chants traditionnels décrivant la vie rurale. La musique Mariachi moderne a adopté d’autres genres tels que les chants ranchera, le boléro ranchero et même la cumbia de Colombie. Les paroles des chants Mariachi parlent de l’amour de la terre, de la ville natale, du pays d’origine, de la religion, de la nature, des compatriotes et de la force du pays. L’apprentissage à l’oreille est le principal moyen de transmission de la musique Mariachi traditionnelle et le savoir-faire est généralement transmis de père en fils ainsi qu’à l’occasion des événements festifs, religieux et civils. La musique Mariachi transmet des valeurs de respect pour le patrimoine naturel des régions du Mexique et pour l’histoire locale ; la langue employée est l’espagnol et les différentes langues indiennes du Mexique occidental. |
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La Charrería, tradition équestre au Mexique | 2016 | * pratiques sociales, rituels et événements festifs * arts du spectacle * savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel |
La Charrería est une pratique traditionnelle des communautés d’éleveurs de bétail au Mexique. Elle permettait, à l’origine, aux éleveurs de différents États de mieux cohabiter. Les techniques se transmettaient aux jeunes générations au sein des familles. De nos jours, des associations de Charrería et des écoles contribuent à transmettre la tradition également considérée comme un sport, en entraînant les membres de la communauté, y compris à un niveau de compétition. L’exécution de plusieurs épreuves en public (charreadas) permet aux spectateurs d’observer les compétences déployées par les éleveurs de bétail, par exemple, pour dresser et attraper des juments sauvages et des taureaux. Vêtus d’un costume traditionnel comportant un chapeau à larges bords pour les hommes et un châle coloré pour les femmes, les éleveurs entraînés montrent leurs savoir-faire à pied ou à cheval. Intégrés à la pratique traditionnelle, le costume et l’équipement, selles et éperons, sont conçus et produits par des artisans locaux. La Charrería est un aspect important de l’identité et du patrimoine culturel des communautés de détenteurs. Les praticiens perçoivent la tradition comme un moyen de transmettre aux jeunes générations des valeurs sociales importantes telles que le respect et l’égalité entre membres de la communauté. |
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4 La romería, cycle rituel de pèlerinage de la Vierge de Zapopan portée en procession | 2018 | * arts du spectacle * pratiques sociales, rituels et événements festifs * savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel * traditions et expressions orales |
La fête annuelle de la romería, célébrée le en l’honneur de l’image de la Vierge de Zapopan, est une tradition qui remonte à 1734. La journée marque la fin du cycle rituel annuel connu sous le nom de « procession de la Vierge » qui débute en mai et prévoit de nombreuses activités communautaires et liturgiques. Le cycle s’achève avec le retour de la Vierge dans la basilique à Zapopan. Plus de deux millions de personnes y prennent part, et l’une des principales caractéristiques de la fête est la présence et la participation massives de différents groupes de danseurs autochtones. La procession (la Llevada) et les activités liées à ce rituel attirent énormément de public et transforment les rues et espaces publics en lieux de fête pour les communautés avec des expressions artistiques populaires fruit d’un travail collectif. Tout au long de l’année, la planification des activités repose sur l’interaction entre les différentes communautés, ce qui leur permet de renouveler et renforcer les liens sociaux. Grâce au soutien constant de la communauté à la pratique, la romería est considérée comme l’une des traditions les plus populaires et les plus fortement enracinées de l’ouest du Mexique. Par l’intermédiaire de groupes de la société civile et ecclésiastiques bien organisés, la communauté des détenteurs et des praticiens assure la survie de cette manifestation culturelle. |
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Processus de fabrication de la talavera artisanale de Puebla et de Tlaxcala et de la céramique de Talavera de la Reina et d’El Puente del Arzobispo
Note
Le Mexique partage cette pratique avec l'Espagne. |
2019 | Deux communautés au Mexique et deux autres en Espagne fabriquent la talavera artisanale de Puebla et de Tlaxcala (Mexique) et la céramique de Talavera de la Reina et d’El Puente del Arzobispo (Espagne). Les céramiques sont utilisées à des fins domestiques, décoratives et architecturales. Malgré des changements et les évolutions auxquelles les céramiques ont fait face dans les deux pays (liées à l’utilisation de tours de potiers électriques aujourd’hui), les processus de fabrication artisanaux, y compris les techniques de fabrication, d’émaillage et de décoration, restent les mêmes qu’au XVIe siècle. Les connaissances et savoir-faire relatifs à cet élément incluent la préparation de l’argile, la fabrication de la faïence à l’aide d’un tour de potier ou d’un moule, la décoration, la préparation des émaux et des pigments et la gestion du four, qui nécessite une grande expertise. Certains céramistes gèrent l’ensemble du processus, tandis que d’autres se spécialisent dans des tâches spécifiques. Les connaissances liées à l’élément (y compris l’extraction des matières premières, le traitement des matériaux, la décoration et les techniques de cuisson) sont principalement détenues par des maîtres faïenciers et céramistes qui ont développé leurs compétences au fil du temps et les ont oralement transmises aux jeunes générations, dans leurs ateliers ou dans le cadre familial. Chaque atelier a sa propre identité, qui transparaît à travers le détail des formes, des décors, des couleurs et des émaux des pièces. La production de céramiques reste un symbole identitaire capital dans les deux pays. |
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Registre des meilleures pratiques de sauvegarde
[modifier]Pratique | Année | Domaine | Description | Illustration |
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7 Xtaxkgakget Makgkaxtlawana : le Centre des arts autochtones et sa contribution à la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel du peuple totonaque de Veracruz, Mexique | 2012 | * traditions et expressions orales * arts du spectacle * pratiques sociales, rituels et événements festifs * savoir-faire liés à l’artisanat traditionnel |
Le centre des arts autochtones a été conçu en réponse à un désir à long terme du peuple Totonaque de créer une institution éducative pour transmettre ses enseignements, son art, ses valeurs et sa culture, tout en fournissant aussi aux créateurs indigènes les conditions favorables au développement de leur art. La structure du centre représente un établissement traditionnel composé de maisons-écoles, chaque ‘Maison’ étant spécialisée dans l’un des arts totonaques à suivre pour les apprentis, comme la poterie, les textiles, la peinture, l’art de soigner, la danse traditionnelle, la musique, le théâtre et la cuisine. À la ‘Maison des Anciens’, les étudiants acquièrent les valeurs essentielles des Totonaques et une orientation sur le sens de la pratique créative. La transmission des connaissances est intégrale et holistique. Les maisons-écoles considèrent la pratique créative comme une chose intrinsèquement liée à la nature spirituelle. Le centre propose une régénération culturelle en revitalisant les pratiques culturelles totonaques par des moyens tels que l’usage de la langue totonaque comme vecteur de l’enseignement, la récupération des techniques traditionnelles oubliées, la production artistique, le rétablissement des organes gouvernementaux traditionnels et le reboisement des plantes et des arbres nécessaires aux pratiques culturelles. Le centre promeut également la coopération permanente avec les créateurs et les agences culturelles des autres États du pays et du monde entier. |
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Liste de sauvegarde d'urgence
[modifier]Le Mexique n'a pas de pratique inscrite sur la liste de sauvegarde d'urgence.