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Description

La longueur de sa coquille atteint 21,6 mm.

Distribution

Cette espèce est présente dans la mer de Corail.

Références

(en) Référence World Register of Marine Species : espèce 'Granulifusus benjamini Hadorn & Fraussen, 2005

(en) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en anglais intitulé « Granulifusus benjamini » (voir la liste des auteurs).

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Description de cette image, également commentée ci-après Coquille de Granulifusus benjamini (holotype conservé au MNHN à Paris). Classification selon WoRMS Règne Animalia Embranchement Mollusca Classe Gastropoda Sous-classe Prosobranchia Ordre Neogastropoda Famille Fasciolariidae Genre Granulifusus Espèce

Granulifusus benjamini Hadorn & Fraussen, 2005[1]

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Le Traité des systèmes est le second ouvrage philosophique de Étienne Bonnot abbé de Condillac publié en 1749. Le sous-titre : "Où l'on en démêle les inconvénients et les avantages par l'auteur de l'Essai sur l'origine des connaissances humaines" indique le thème de l'ouvrage et fait référence à la première publication qui le fit connaître en 1746

Ce traité complète le précédent essai Condillac y montre l'errance des inventeurs de systèmes abstraits qui n'ont pas su fonder leur doctrine sur une idée simple comme lui le faisait en ramenant les idées aux sensations.

« Dans un second ouvrage - le Traité des systèmes - Condillac complète l'exposé doctrinal de l'Essai sur l'origine des connaissances humaines par des considérations méthodologiques où se retrouve l'influence de Newton. »

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Eurasie > Europe > Péninsule Ibérique > Espagne > Îles Baléares > Ibiza

Ibiza (« Eivissa » en catalan) est une île espagnole de l'archipel des Baléares, en mer Méditerranée.

Ibiza

(Eivissa)

Information
Pays Espagne
Superficie 577 km²
Population 147 914 hab. (2019)
Densité 256,35 hab./km²
Localisation
+-

20 km

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ComprendreModifier[modifier]

Ibiza se situe à une centaine de kilomètres à l'est du cap de La Nao et des côtes de Valence, dans la péninsule Ibérique. Elle est également relativement proche des côtes algériennes. L'archipel des Pityuses comprend l'île d'Ibiza et celle de Formentera. Avec Majorque et Minorque, elle forme la province des Baléares. Sa superficie est de 572 km2, l'altitude maximale correspond à la Talaia de Sant Josep qui culmine à 475 m. Sa population compte 132 000 habitants dont 42 000 qui habitent sa capitale éponyme.

VillesModifier[modifier]

Autres destinationsModifier[modifier]

AllerModifier[modifier]

En avionModifier[modifier]

  • 1 Aéroport d'Ibiza (IATA : IBZ, OACI: LEIB, Aeroport d'Eivissa, Aeropuerto de Ibiza)    (7 km au sud-ouest de la ville d'Ibiza) – utilisé par les compagnies aériennes à bas prix pour les vols domestiques, internationaux et transcontinentaux. Il possède un seul terminal. (dernière mise à jour oct. 2018)

En bateauModifier[modifier]

Ibiza est desservie par ferry.

CirculerModifier[modifier]

Les transports intérieurs à l'île se font par la route : bus, taxi, véhicule personnel ou de location.

AcheterModifier[modifier]

MangerModifier[modifier]

Boire un verre / SortirModifier[modifier]

Depuis quelques années, Ibiza se proclame « capitale mondiale des discothèques ». Parmi les plus connues figurent le Pacha, l'Amnésia, le Privilège (anciennement le Ku) ou encore le Space, où se rendent les plus grandes personnalités.

Se logerModifier[modifier]

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ArgumentModifier[modifier]

L'auteur commence, en tête du premier chapitre, par une définition de système :

« Disposition des différentes parties d'un art ou d'une science dans un ordre où elles se soutiennent toutes mutuellement et où les dernières s'expliquent par les premières. Celles qui rendent raison des autres s'appellent principes. »

Condillac distingue ensuite trois sortes de systèmes selon le type de principes sur lesquels ils reposent :

- Ceux qui reposent sur des maximes générales et abstraites.

- Ceux qui reposent sur des suppositions.

- Ceux qui reposent sur des faits constatés, qui seuls fondent les vrais systèmes.

Cette typologie détermine le plan du traité

Une première partie, plus développée, critique les systèmes fondés sur des maximes générales et abstraites. Ces maximes sont établies d'après des idées générales qui sont formées par abstraction de caractères communs à plusieurs idées produites par la sensation. Mais leur point de départ est fautif car ces idées ne roulent que sur des mots qui n'ont point de sens déterminé.

Condillac donne ensuite des exemples de ce genre de systèmes défectueux dont il fait la critique. (Jusqu'au chapitre XI).

Il commence par critiquer l'astrologie et les autres arts de la divination qu'il nous présente comme en découlant.

Il s'attaque ensuite aux philosophes. Il prend quatre exemples qu'il poursuit pas à pas. D'abord les cartésiens et particulièrement Malebranche. Suit une étude critique de la Monadologie de Leibniz. Puis vient le tour d' un auteur qu'il laisse anonyme, qui n'a, d'ailleurs, pas trouvé sa place dans l'histoire. (Le père Boursier, d'après Georges Le Roy). Et enfin Condillac réfute Spinoza . Pour ce faire il nous traduit "littéralement" la première partie de l'Ethique pour mieux le suivre et examiner tous les pas qu'il fait.

Les chapitres XII et XIII fonctionnent comme une seconde partie qui traite des systèmes fondés sur des hypothèses. C'est une réflexion épistémologique sur la valeur des hypothèses. L'arithmétique est la science qui les utilise le mieux ; viennent ensuite l'astronomie et la physique. Les hypothèses doivent naître d'observations bien faites.

Les derniers chapitres (XIV à XVIII) traitent des systèmes qui s'appuient sur la troisième catégorie de principes, ceux qui constatent des faits. Condillac donne ensuite des conseils concernant les systèmes politiques, les systèmes en physique et ceux concernant les beaux arts et les arts dits mécaniques. «La mécanique nous apprend à faire servir à nos usages les forces que nous observons dans les corps  »

Place de l'ouvrage dans l'ensemble de l'œuvreModifier[modifier]

Le Traité des systèmes (1749) se situe, dans la chronologie des publications, entre l'Essai sur l"origine des connaissances humaines (1746) et le Traité des sensations.(1754) Ce trois ouvrages forment un tout. L'Essai contient déjà dans son introduction une réflexion sur les systèmes qui sera développée dans le Traité des systèmes. Et le Traité des sensations s'appuie sur les deux ouvrages précédents.

Non seulement ces trois publications forment un tout, mais aussi elles constituent l'ensemble de la doctrine de Condillac que les écrits postérieurs vont préciser. On peut constater que dans le texte du Traité des systèmes de l'édition des œuvres complètes de 1798 Condillac renvoie à des titres du cours d'études pour l'instruction du prince de Parme qui date de 1775. Ou encore, à la fin de sa vie Condillac présente la langue des calculs comme une expérience personnelle de découverte au moyen de l'analyse et qu'il refuse de reconnaître l'exposition par synthèse, comme il le faisait déjà dans le traité des systèmes

Le Traité des systèmes a bien une place centrale dans les travaux de Condillac.

RéférencesModifier[modifier]

Traité des Sistèmes, où l'on en démêle les inconvéniens et les avantages. Par l'Auteur de l'Essai sur l'Origine des Connoissances humaines, La Haye, 1749.

- Oeuvres complètes de Condillac par l'abbé de Mably; 23 volumes, Paris 1798, œuvres revues et corrigées par Condillac.

- Oeuvres philosophiques de Condillac. Presses Universitaires de France, Corpus général des philosophes français, 3 volumes, Paris 1947 - 1951.

Cette édition de Georges Le Roy reproduit le texte de 1798 et les variantes de l'édition de 1749.

  1. ↑ Georges LE ROY, , Paris, P. U. F., 1947, P. XVI, Tome I
  2. ↑ Georges LE ROY, , Paris, P.U.F., 1947, p. 165, Tome I
  3. ↑ Georges LE ROY, , Paris, P.U.F., 1947, pp. 212 - 213, tome I
  4. ↑ Georges LE ROY, , Paris, P.U.F. Corpus général des philosophes français, 1947, page IX, Introduction, Tome I

Liste représentative[modifier]

Pratique Année Domaine Description Illustration
Les chants des Baul Les Baul sont des ménestrels mystiques qui vivent en milieu rural au Bangladesh et au Bengale-Occidental (Inde). Le mouvement baul, qui a atteint son apogée au dix-neuvième siècle et au début du vingtième, connaît actuellement un regain de popularité auprès des populations rurales du Bangladesh. La musique et le mode de vie des Baul ont influencé une grande partie de la culture bengali, notamment les compositions de Rabindranath Tagore, lauréat du prix Nobel. Les Baul peuvent aussi bien vivre à demeure à proximité d’un village, que parcourir les campagnes. Ils gagnent leur vie en chantant, accompagnés d’un instrument à une corde, l’ektara, d’un luth, dotara et d’un tambour appelé dubki. Ils appartiennent à une tradition pieuse hétérodoxe influencée par l’hindouisme, le bouddhisme, le vaishnavisme bengali et le soufisme, tout en se démarquant d’eux. Les Baul ne s’identifient à aucune religion organisée, ignorent le système des castes, n’ont ni dieux, ni temples, ni lieux sacrés particuliers. Ils attachent une grande importance au corps physique de l’individu en tant que lieu où réside Dieu. Ils sont admirés pour leur détachement des conventions, ainsi que pour leur musique et leur poésie. La poésie, la musique, les chants et danses des Baul explorent la relation de l’homme avec Dieu et exaltent la libération spirituelle. Leurs chants dévotionnels dateraient du quinzième siècle, époque à laquelle ils sont mentionnés pour la première fois dans la littérature bengali. La musique des Baul est un type particulier de chant populaire, porteur des influences du mouvement hindou bhakti ainsi que du shuphi, forme de chant soufi. Les chants sont utilisés par le chef spirituel pour enseigner la philosophie baul et sont transmis oralement. Leur langue est continuellement modernisée, ce qui lui confère un caractère actuel. La conservation des chants baul et du contexte général dans lequel ils sont interprétés dépend avant tout de la situation sociale et économique des praticiens. Ce groupe quelque peu marginalisé a vu sa situation s’aggraver depuis quelques décennies du fait de l’appauvrissement général des campagnes.


L'art traditionnel du tissage jamdani Le jamdani est un tissu en coton tissé à la main, extra-fin et aux motifs colorés, traditionnellement tissé par des artisans et des apprentis dans la région de Dacca. Ces textiles mêlent la complexité des motifs à des couleurs sourdes ou éclatantes et donnent des vêtements très respirants. Le jamdani est une forme de tissage qui demande beaucoup de temps et de travail en raison de la richesse de ses motifs, créés directement sur le métier à tisser, grâce à une technique de trame discontinue. Le tissage se développe aujourd’hui grâce à sa popularité auprès des fabricants de saris, la pièce de vêtement principale de la femme bengali aussi bien au Bangladesh qu’à l’étranger. Le sari jamdani est un symbole d’identité, de dignité et de reconnaissance et le porter est un signe d’expression culturelle et de cohésion sociale. Les tisserands développent une identité professionnelle et sont fiers de leur patrimoine, ils bénéficient d’une reconnaissance sociale et sont respectés pour leur savoir-faire. Un petit nombre de maîtres tisserands sont reconnus comme détenteurs des techniques et des motifs de tissage traditionnels et transmettent leurs connaissances et savoir-faire à leurs disciples. Cependant, le jamdani se transmet principalement de parents à enfants dans des ateliers familiaux. Les tisserands — ainsi que les fileurs, les teinturiers, les fabricants de métiers à tisser et autres professionnels ayant un lien avec ce métier — forment une communauté étroitement liée par un fort sentiment d’unité, d’identité et de continuité.